Louzac-Saint-André est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Ses habitants sont les Louzacais, Louzacaises et Andrésiens, Andrésiennes ou Louzacais Andrésiens.
Située en limite du département de la Charente-Maritime, cette commune viticole classée dans les Borderies est riveraine de la vallée de la Charente.
Localisation
Louzac-Saint-André est une commune située à l’extrême ouest du département de la Charente, en limite même du département voisin de la Charente-Maritime.
Louzac et Saint-André sont distants de 2,5 km et, si les deux villages sont à 7 km au nord-ouest de Cognac, Louzac est à 17 km de Saintes et Saint-André à 19 km. Angoulême est à 45 km.
Louzac, comme Saint-André, sont situés à l’écart des grands axes routiers, au nord de la N 141 Cognac-Saintes, route Centre-Europe Atlantique, et au sud de la D 731 Cognac-Burie-Saint-Jean-d’Angély.
La gare la plus proche est celle de Cognac, desservie par des TER à destination d’Angoulême, Saintes, Royan et La Rochelle.
Hameaux et lieux-dits
La commune est constituée des deux communes associées de Louzac et de Saint-André qui ont chacune leur village, ainsi que de nombreux hameaux et lieux-dits : chez les Rois, chez Devaud, la Nofrache, la Brande, Fraingant, le Grand Bouroux, le Petit Bouroux, chez Cocuaud, chez les Longs, chez Bujard Lorgère, la Châtaigneraie, Font Joyeuse, le Ribellot, le Pallain, Montlambert, chez Tatin, chez Guillen, Chantecaille, le Fief des Groies, les Jugeries, Malabrit, la Mondevie, la Rigolèterie, etc. Le village de Saint-André touche la limite départementale.
Histoire
Des sarcophages monolithiques ont été retrouvés à Saint-André contenant des ossements, des agrafes de cuivre et des monnaies romaines.
La commune est limitée au nord par la voie d’Agrippa de Saintes à Lyon.
La paroisse de Louzac a fait partie de la seigneurie de Rochereau et du chapitre de Saintes. Elle comportait aussi la terre de Montlambert et jusqu’à la tempête de 1879 on lisait sur son portail un verset de saint Paul. La terre de Montlambert appartenait au XVIIe siècle à la famille de Sèches. Dans le logis de Montlambert passait la limite entre l’Angoumois et la Saintonge aujourd’hui limite départementale, matérialisée alors par des pierres. Entre le XVIIe et XVIIIe siècles, Montlambert est passé successivement aux familles de Neilles de Lanis, puis Saulnier.
Le 7 mars 1787 les représentants de Louzac à l’assemblée préliminaire des États généraux qui se tient à la salle capitulaire des Récollets de Cognac sont Pierre Billard et J. Ripoche et ceux de Saint-André J. Portet et Nicolas Bruand.
L’église de Saint-André était le siège d’un important prieuré qui a subsisté jusqu’à la Révolution.
La Templerie serait une ancienne possession des Templiers, avec la Commanderie de Richemont, dont il ne reste aucune trace écrite probante ni aucun vestige.
Sous l’Ancien Régime, la terre de Saint-André était possédée par les seigneurs de Boisroche, qui, au début du XVIIe siècle, était représentée par Jehan d’Arnault, écuyer, maître d’hôtel du duc d’Épernon. Saint-André passa successivement aux Pontlevain en 1631, alors que Boisroche passait à Jacques de Villiers avant 1684. Au XVIIIe siècle, Boisroche et Saint-André passèrent à la famille de Curzay.
Louzac-Saint-André est une commune fondée le 1er janvier 1972 après la réunion des deux anciennes communes de Louzac et Saint-André.
Durant la Seconde Guerre mondiale, le maquis de Saint-André était dans les bois de Saint-André. Il a été rattaché au maquis de Bir Hacheim.
Lieux et monuments
Patrimoine religieux
- L’église Saint-Martin de Louzac (Plan).
L’extérieur




L’intérieur
















L’église Saint-Martin de Louzac a été construite à la fin du XIIe siècle puis reprise aux XIVe et XVIe siècles. Elle est de plan allongé à un vaisseau. Elle présente une coupole sur pendentifs dans la travée sous clocher, une voûte d’ogives dans la chapelle gauche et un cul-de-four en brique dans le chœur. Ses sculptures représentent des feuillages, des motifs géométriques et pour un modillon en façade une tête humaine.
Elle abrite un tableau du Christ en croix datant probablement du XVIIIe siècle.
L’église Saint-Martin (ancienne commune de Louzac) est d’abord unie au diocèse de Saintes, avant d’être rattachée à celui d’Angoulême.
De l’époque romane, l’église ne conserve que la façade et quelques parties de murs. De nombreux remaniements ont été réalisés suite aux guerres de Cent Ans (1337-1453) et de Religions (1562-1598), ainsi qu’à plusieurs incendies.
Des graffiti sont gravés dans la pierre, marquant ainsi le passage de personnes itinérantes : pèlerins, compagnons… Le symbole le plus représenté est une croix pointée aux extrémités, dressée sur un socle triangulaire, symbolisant des montjoies, croix érigées sur des monticules de pierres, jalonnant les chemins de Saint-Jacques. On y observe également coquilles, animaux, mains, outils, …
L’église est inscrite au titre des Monuments Historiques depuis 2012.
- L’église (Saint-André) (Plan).
L’église dédiée à saint André appartenait à l’ancien diocèse de Saintes. Aujourd’hui dans le département de la Charente et en limite avec celui de la Charente-Maritime, elle se situe dans la commune de Saint-André de Cognac ayant été réunie à celle de Louzac en 1973.
Le site, siège d’un important prieuré, fut établi non loin de l’ancienne voie romaine reliant Saintes à Lyon, sur un promontoire rocheux qui surplombe la vallée du Ri Belllot. L’établissement religieux a subsisté jusqu’à la Révolution. A l’est, le chevet est imbriqué dans le bâtiment de l’ancienne école qui faisait partie, à l’origine, du prieuré. Le clocher, reporté contre le mur latéral sud, est plus récent que le reste de l’édifice. La façade, inscrite à l’inventaire supplémentaire des Monuments Historiques depuis 1991, est la partie la plus intéressante. Elle date du XIIe siècle pour le portail, l’enfeu, le cordon, la fenêtre et la partie supérieure ; les contreforts ont été ajoutés aux XVIIIe et XIXe siècle. La corniche à modillons présente des éléments sculptés d’époque médiévale (un cochon, des personnages), mais aussi deux visages sur la gauche tout à fait contemporains et bien reconnaissables pour la population locale : il s’agit du maire de Louzac-Saint-André et du maire délégué de Saint-André en fonction au moment de la restauration ; clin d’oeil des tailleurs de pierre à une pratique assez courante au Moyen Age. Au-dessus de la corniche et de part et d’autre de la baie, deux statues de Vierge à l’enfant, semblent avoir été placées postérieurement au XIIe siècle. De facture romane et archaïque, elles sont assez abîmées.
A l’intérieur, la sobriété est de mise ; seul deux chapiteaux un peu rustiques marquent l’entrée du choeur. Le mur nord de la nef présente quelques désordres indiquant un effondrement et une reconstruction au XIXe siècle. L’église a connu des restaurations au XIXe siècle, puis a fait l’objet d’une ample campagne de restauration entre 2001 et 2003. Le mobilier de cette église se compose d’un autel, d’un retable et d’un tabernacle. Le retable, élément de décor placé derrière l’autel, se généralise dans les églises rurales au moment de la Réforme Catholique, au XVIIe siècle. Ici l’ensemble date du XIXe siècle ; les deux tableaux du retable représentent le Christ souffrant et humilié par les soldats et, dans la partie supérieure, saint André avec sa croix en sautoir, c’est-à-dire en « X », très reconnaissable.
L’extérieur










L’intérieur








L’église Saint-André est l’église paroissiale du bourg de Saint-André, commune associée de Louzac-Saint-André, dans le département français de la Charente. Après avoir appartenu à l’ancien diocèse de Saintes elle appartient au diocèse d’Angoulême.
HISTOIRE
Le lieu, sur un promontoire dominant le Ris-Bellot, un affluent de l’Antenne était proche de la voie romaine Saintes-Lyon dite Chemin des Romains ou Chemin chaussé.
L’église Saint-André faisait partie d’un important prieuré qui a existé jusqu’à la Révolution.
L’église aurait été restaurée en 1784, puis en 1885 et dernièrement entre 2001 et 2003.
ARCHITECTURE
C’est une église romane à un vaisseau, à nef voûtée en berceau brisé et chœur voûté en plein-cintre. Le chevet est adjacent aux bâtiments de l’ancien prieuré, devenu un temps l’école.
Le clocher, plus récent que le reste de l’édifice est contre le mur latéral sud.
La façade occidentale, datant du XIIe siècle fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 5 décembre 1991. Elle comporte un portail, une fenêtre et une corniche avec des modillons sculptés. Lors de la rénovation de 2002 ce sont les visages du maire de Louzac et du maire adjoint de Saint-André qui ont servi de modèles.
MOBILIER
La cloche daterait du XIIe siècle.
Le retable en bois tourné mouluré date du XIXe siècle. Les tableaux sont de la même époque.
- Aux abords de Louzac, une croix (Plan) trône au milieu d’un rond-point. Cette croix a donné son nom au lieu-dit la Croix-Fringant. Elle fait partie des nombreuses croix de chemin de la commune, à Saint-André celle qui a été érigée par les sœurs de la Miséricorde en 1903 et la croix de mission de 1927, à Louzac celle érigée en 1816.
- La croix le bourg de Louzac – daté 1816 (Plan).
- La croix érigée par les sœurs de la Miséricorde à Saint-André (Plan).
Patrimoine civil
Heures d’ouverture | ||
---|---|---|
Lundi | 9h00 à 12h00 | 14h00 à 18h00 |
Mardi | 9h00 à 12h00 | 14h00 à 18h00 |
Mercredi | 9h00 à 12h00 | 14h00 à 18h00 |
Jeudi | Fermé au public | |
Vendredi | 9h00 à 12h00 | 13h00 à 17h00 |
Site Web : http://www.louzac-saint-andre.fr |
- Il y a un cimetière à Louzac et un à Saint-André, un monument aux morts à Louzac (Plan) et un à Saint-André (Plan) qui a été construit en 1922 par Raymond Clavery.
Monument aux morts de Louzac édifié en 1922 par Marcel _Tetaud, entrepreneur de maçonnerie à Cognac, d’après un projet de Raymond Clavery architecte également à Cognac.
Victimes de la Guerre 1914-1918 | |
ALLIEN Clément COUNY Léopold CHAUSSAT Fernand DROUINAUD Albert DROUINAUD Amand DROUINAUD Marius DROUINAUD Ulysse DUGUET Raphaël EMRY Joseph LEBLANC Eugène |
MOYET Roger MOYET Raphaël MION Alcide RICHER Marcel RICHER Daniel ROBERTIÈRE Clovis RAYMOND Jean TOURNY Maurice TOURNERIE René TROUVÉ Marcel |
Victimes de la Guerre 1939-1945 | |
TOUZINEAU Marcel | |
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Monument aux Morts Monument de Saint-André Commémoratif de la Guerre de 1914, 1918.
Victimes de la Guerre 1914-1918 | |
SAVARIT P. 28.05.1914 CHEVREUSE J. 06.10.1914 FARCHAUD E. 08.05.1915 CADUSSAUD O. 17.07.1915 BENON F. 26.09.1915 FOURNIER L. 19.10.1915 CARACOLLE F. 09.05.1916 |
GUERIN P. HEURGON R. 03.11.1917 MION R. 19.12.1917 BON A. 10.06.1918 MONJAUD C. 17.08.1918 FOURNIER R. 28.09.1918 |
Victimes de la Guerre 1939-1945 | |
PATAUD A. 21-09-1942 | PATAUD Y. 09-03-1943 |
Victimes de la Guerre Algérie | |
DEFRENNE J. 15-11-1961 | |
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- Cimetière de Saint-André (Plan) .
Cimetière de l’ancienne commune de saint André construit en 1874 par l’entrepreneur Eugène Védy de Mons (17) et clos en 1878 par François Gébrenne, entrepreneur à Cognac.
Croix de Cimetière
- Cimetière de Louzac Plan) .
Cimetière de l’ancienne commune de Louzac, construit en 1878 par l’entrepreneur Pierre Groumilloux sur un devis du géomètre Pierre Longuet.
Croix de Cimetière – 2e moitié XIXe siècle.
Inscription sur la tombe devant la Croix :
Emile Jacques TUTTE
Né à Montrollet Charente
le 19 Mars 1847
Décédé à Louzac
le 28 Janvier 1900
- Le château de Font Joyeuse a été reconstruit au milieu du XIXe siècle sur un emplacement très anciennement bâti. C’est un château en pierre de taille et couvert d’ardoise avec un étage de soubassement un étage et un étage de combles. Les bâtiments de ferme et les communs comportent les ruines d’un moulin, les viviers, la cressonnière. La fontaine qui fournit l’eau en continu serait romaine.
- Mondevie (Plan) .
Le logis (XVIIe s) était composé de deux ailes en retour d’équerre aujourd’hui séparée. Le corps de logis est flanqué d’un avant corps où s’ouvrait la porte d’entrée d’origine, voûtée en anse de panier. Les fenêtres possèdent des chambranles et appuis moulurés.
- Montlambert (Plan) est un logis dont une partie date du XVIe siècle, le logis du Diguet lui est du XVIIe siècle et de nombreuses fermes ont été construites au XVIIIe siècle.
- Bois-Roche (Plan).
A l’époque féodale, nous savons que la paroisse de Saint-André, entre autres, relevait de la seigneurie de Bois-Roche. Pourtant ce n’était déjà à l’époque qu’un petit hameau dépendant de la paroisse de Cherves. Dès le milieu du XVe siècle, nous trouvons trace de cette place forte dominant la vallée du Ris-Bellot, et de ses habitants ; la famille Puyrigault. Plus tard, peut-être par héritage ou par vente, la famille Stuer (t) ou Estuer (t) de Saint-Maigrin eut son nom attaché à Bois-Roche. Pourtant, ils n’habitèrent jamais ici. Ils avaient préféré y installer des hommes qui tenaient les lieux en leur nom à titre d’hommage. C’était peut-être les Commart qui sont mentionnés en 1537 comme des voisins de Boussac, effectivement très proche. Ce peut être aussi les Lestang qui, après avoir soutenu un procès avec le chapitre de Saintes, sont investis des droits des Saint-Maigrin et rendent les hommages que les Stuer rendaient au château de Cognac. A ce titre, ils sont fondés à se dire seigneurs de Bois-Roche et Saint-André. Charles de Lestang en fournit dénombrement en 1574 et ce dénombrement figure dans un inventaire de Bois-Roche daté de 1710, du temps de Jacques de Cursay. En 1580, c’est la fille de Charles, Léa de Lestang, mariée à Paul de Pontlevin, qui habite Richemont. Depuis longtemps, les Lestang et leurs descendants étaient dispensés de payer les hommages aux châtelains de Richemont. En effet, Léa de Pontlevin, née de Lestang, était la sœur du seigneur de Richemont. Mais cela ne pouvait durer. A partir de 1610, il n’y a plus de Lestang au château de Richemont. Les nouveaux châtelains, Pierre Jarrousseau et sa famille, attendent les hommages qui ne sont pas rendus. Leurs réclamations restent vaines. Cette situation va par la suite entraîner les seigneurs de Bois-Roche vers de gros endettements…
… De l’ancien château de Bois-Roche, il ne reste aujourd’hui que quelques ruines des fondations. Cependant, une douve et quelques salles voûtées subsistent et sont restaurées par l’actuel propriétaire. Le logis actuel se tient au milieu d’un beau parc. Il est constitué d’un corps central entre deux pavillons dominant un petit cours d’eau et les ruines de l’ancien château. A.L.
- La Templerie (Plan).
Nous ne connaissons pas l’histoire de cet édifice qui peut, néanmoins être daté du XVIIIe siècle.
Il consiste en un long bâtiment de plan rectangulaire dont le corps principal, surélevé, est coiffé d’une toiture à la Mansart. L’une des extrémités du logis est flanquée d’un pavillon à couverture d’ardoise. La façade arrière comporte deux ailes de dépendances encadrant une cour, l’autre façade ouvrant sur un joli petit jardin clos de murs. La Templerie, dans un état d’entretien correct, conserve encore de nos jours beaucoup de charme. L .F.
- Le lavoir « L’Eglise » (Saint-André) (Plan).
Les bâtiments réservés exclusivement au lavage du linge se développent principalement au 19e siècle. Cet essor correspond à la conjonction de deux évolutions : la prise de conscience des principes d’hygiène et le développement économique des campagnes.
Au même titre que la mairie et l’ école, les lavoirs constituent des repères essentiels de l’espace communal.
Situé à l’écart du Ri Bellot et alimenté par une source, celui de Saint-André est de forme carrée, couvert par une toiture à quatre pans recouverts de tuiles plates. Ce toit assure ainsi aux lavandières une protection efficace contre les intempéries.
La lessive était un des moments forts de l’année. Elle se déroulait selon un rite précis quasi identique dans toutes les régions. Les grandes lessives (buées ou buhjées) se tenaient lorsque les femmes n’étaient pas accaparées par les travaux des champs.
Les lessives duraient 3 jours qui sont appelés parfois : purgatoire, enfer, paradis. Le premier jour était réservé au trempage, le deuxième au coulage et le troisième au rinçage.
Le linge était placé dans le cuvier. La cendre, qui servait de détachant, était placée dans un drap, ou charrier. Arrosée d’eau chaude, la cendre se répandait sur le linge. Le travail au lavoir était fastidieux et pénible. La lavandière s’agenouillait sur un carrosse (boîte en bois qui lui permet de protéger ses genoux) puis battait le linge à l’aide d’un « battoir » ou « tapoir » afin de faire sortir la saleté contenue dans les fibres. Le linge était ensuite rincé et souvent étendu en plein champ pour améliorer le blanchiment du linge.
Très rapidement, la lessive devint mensuelle puis hebdomadaire.
Les lavoirs étaient aussi des lieux de convivialité où se rencontraient exclusivement les femmes du village. C’était le « parloir » des femmes. Aucun homme n’osait y pénétrer. Les secrets de famille mais aussi les médisances nourrissaient les conversations. Le volume sonore des voix mélangées avec celui des battoirs ont entraîné parfois des plaintes des habitants du voisinage.
Le lavoir a été restauré en 2004 par la Communauté de communes de Cognac, avec le soutien financier de l’Union européenne (Fonds Européen d’Orientation et de Garantie Agricole).
- Le lavoir « Le Pont » (Saint-André) (Plan).
Bassin rectangulaire, deux margelles en pierre inclinées. Alimenté par le ruisseau le Ribelot. Juste après le lavoir, deux longues pierres creusées par l’usure, servaient au traitement du chanvre.
- Le lavoir « Ris Belot » de Saint-André (Plan).
Un peu après le hameau de Ris Belot, prendre à pied le chemin sur la gauche. A quelques mètres, sur la gauche, lavoir non couvert très ombragé, alimenté par une fontaine carrée. Long bassin et 2 margelles.
- Le puits à côté de la mairie de Louzac (Plan).
- Le puits Montlambert (Plan).
- Le puits La Templerie (Plan).
Notes et références
Le livre ‘Châteaux, manoirs et logis’, p 152
Livre ‘Guide des châteaux, logis et anciennes demaures de la Charente’ p : 161
L’Eglise de Saint-André
Le Lavoir « L’Eglise »
Le Lavoir « Le Pont »
Le Lavoir « Ris Bellot »
Wikipedia Louzac-Saint-André