Ci-dessous, les noms des monuments avec leur adresse. Le nom du monument : ‘nom du bâtiment’ (numéro sur la carte ci-dessus).
Le territoire de Crouin était divisé en plusieurs petits fiefs. Il y avait le fief du Charmant, propriété de la famille Gendreau qui quitta la France après la révocation de l’Édit de Nantes (12 octobre 1685).
Le fief de Grand-Rochefort en Crouin appartenaitt à le seigneurie de Saint-Trojan, qui la tenait en foi et hommage du château de Cognac, au devoir d’une paire de gants de la valeur de deux sous six deniers à chaque mutation.
Le fief de la Sarrasine eut pour possesseurs la maison de la Cour, ensuite Lionel Guillon et Philippe de Lestang.
Enfin, les dames religieuses bénédictines possédaient la métairie de Crouin, nommaient à la cure et accordaient au titulaire une pension de 300 livres par an.
